Avant de
commencer mon premier compte-rendu 2018, j'ai envie de vous citer une maxime
navajo : « choisi bien tes mots, car ce sont eux qui créent le monde qui
t'entoure ».
Vous
connaissez la chanson de Jacques Brel : « tu as voulu voir Vesoul et tu as vu
Vesoul » et bien aujourd'hui, d'après André, tu as voulu voir Ecurcey et tu as
vu Champ Babon, enfin les derniers vestiges qui dominent encore la vallée et Pont
de Roide; mais chacun fait fait fait ce qu'il lui plaît...
A sa suite,
au départ du stade, nous étions juste quarante à grimper dans la forêt, parmi un
entrelacs de chemins bien détrempés. Les oiseaux qui y gazouillaient gaiement
c'étaient nous et les seuls sangliers à patauger et à gauger leurs bas de
pantalon dans la boue, c'étaient encore nous motivés par l'agrainage qui nous
attendait : un excellent cake fait par Mathilde et d'autres gourmandises. Merci
à tous.
Un soleil
voilé, une nature qui sommeille, un bon bol d'air et nous voilà revigorés pour
affronter le prochain déluge, l'hiver est loin d'être fini.
Michèle (la minute indienne !)